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La fiscalité immobilière en Afrique est un sujet complexe, qui varie considérablement d’un pays à l’autre. Les taux d’imposition, les types d’impôts et les procédures administratives diffèrent significativement, rendant la comparaison difficile. Néanmoins, il est possible de dégager quelques tendances générales et de mettre en évidence les principaux pays d’investissement.

Les principaux impôts immobiliers en Afrique

Les impôts immobiliers les plus courants en Afrique sont :

• L’impôt foncier : Taxe annuelle sur la propriété immobilière, calculée sur la valeur cadastrale du bien.
• La taxe sur la plus-value immobilière : Imposée lors de la vente d’un bien immobilier, elle est calculée sur la différence entre le prix d’achat et le prix de vente.
• Les droits de mutation : Perçus lors de la vente d’un bien immobilier, ils représentent un pourcentage du prix de vente.
• La taxe d’habitation : Taxe annuelle sur les logements occupés par leurs propriétaires.

Un aperçu de la fiscalité immobilière dans quelques pays clés

• Afrique du Sud : Le système fiscal sud-africain est relativement complexe, avec de nombreux impôts locaux et nationaux. Les taux d’imposition varient en fonction de la province et de la valeur du bien.
• Maroc : Le Maroc a mis en place une réforme fiscale ambitieuse visant à attirer les investissements étrangers. Les taux d’imposition sur les revenus locatifs sont relativement faibles.
• Égypte : L’Égypte propose des incitations fiscales pour les investisseurs étrangers, notamment dans